Les fleurs de printemps ne sont plus qu'un souvenir... Les ancolies ont été coupées au pied pour enlever les tiges raide et sèches et les rosiers anciens taillés.
Les hortensias préféreraient une atmosphère moins sèche. C'est le désordre de ce côté ; entre ceux qui ont été déplacés plusieurs fois (et dédoublés par la même occasion), ceux récupéré dans une potée, ceux achetés sans le nom, les boutures, qui est qui ?
Voici le plus bleu que je puisse obtenir, le terrain n'est pas assez acide (et la photo est "flatteuse").
Vu de près, le fleur semble très jolie, mais en fait elle est toujours molle ; les tiges sont assez grêles et arquées, les inflorescences petites (10 à 15 cm seulement de diamètre). Je me demande s'il s'agit de caractéristiques d'une variété ou de soins inadaptés.
Les hortensia bleus ont cet aspect, les couleurs ne sont pas très franches, tirant sur le mauve ou le blanchâtre. Produits "bleuissant" ou ardoise pilée, je n'obtiens rien de mieux. J'ai le souvenir d'hortensias d'un bleu éclatant à Mont-de-Marsan et de véritables haies à Saint-Cyr-Coëtquidan (des arbustes de grande taille avec des fleurs d'un très beau bleu)...
Mêlé avec l'althaea, un hortensia qui m'a été donné voici presque 25 ans par mes collègues de travail italiens. Au départ, il était... bleu
Achats de 2014, qui se développent avec des fortunes diverses.
Red Baron pas très rouge mais en forme :
Rosita, fidèle à son nom
Mathilde Gudgès, en théorie bleu mais ici rose clair. En fait, c'est l'hortensia "pas de chance" ; dévoré par les limaces en 2014, année de sa plantation, il s'en est sorti de justesse et cette année, masqué par les ancolies il a subit le même sort. Si, si, regardez bien, les trucs roses sont des fleurs d'hortensia.